Apple refuse Google Voice sur l'App Store.
Ecrit par: Arlond
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Apple a une manière très peu obséquieuse de procéder aux refus des applications sur sa plateforme, l’App Store. La firme de Cupertino vient de rétorquer Google Voice pour iPhone. Pour certains, la compagnie devient un véritable monopole, un « control freak », qui veut absolument éliminer ses concurrents. L’application de GVoice est rejetée comme l’appli « Latitude » précédemment, on se demande où est passé le semblant d’entente entre les deux rivaux. Alors que l’iPhone atteint des sommets vertigineux en termes de ventes, des sites consacrés à la technologie disent qu’« Apple est en train de pourrir jusqu’au noyau ». Pourquoi donc un tel énervement ? Eh bien, Apple vient de refuser l’application Google Voice sur son App Store. Et ce n’est pas tout. En plus de Google Voice, c’est aussi d’autres logiciels déjà approuvés par Apple qui ont été retirés de l’iTunes Store. Le directeur marketing d’Apple, Phil Schiller, avait approuvé Google Voice, mais il s’est passé des choses et aujourd’hui, le logiciel a été recalé sans aucune raison.Google Voice permet, à l’aide d’un seul numéro, de rediriger vos appels vers le combiné de votre choix. C’est peut-être cela qui effraie Apple. Mais contrairement à GVoice, Skype qui est assez semblable est toujours présent sur la plateforme de la firme de Cupertino. Elle peut bien protéger ses intérêts et ses partenariats, mais pourquoi refuser Google Voice sans donner de raison particulière ? La web application de Google Voice sera peut-être optimisée comme l’appli « Latitude » qu’Apple a aussi refusé. En tout cas, ce refus traduit peut-être l’arrogance du « control freak » d’Apple ou tout simplement la peur de la concurrence face à Google Voice. On verra bien. gogle, voices, iphoen, appel |
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| Signature article : Joanne Laroche Apple ne veut pas de Google Voice dans son App Store. L'application mobile Google Voice rejetée par Apple. |
A propos de l'auteur
Joanne Laroche a perdu ses parents à l’âge de 17ans, et c’est en
s’installant chez sa tante un an plus tard qu’elle décide de faire des
études à l’Institut de Journalisme de Bruxelles. Une voie toute tracée dans le
monde des médias l’attend car elle sera d’abord journaliste en Belgique, avant
de s’installer dans un appartement en plein Paris. Elle se perfectionne dans le
domaine et a aujourd’hui 15ans d’expérience dans le métier.
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