L'immobilier en 2012 : état de lieux
Ecrit par: adelepartiche
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Les notaires de l'Hexagone avaient supposé que le marché de la pierre allait subir une baisse au niveau prix en début d'année 2012. En effet, ces conjectures ressortent d'un processus assez logique, à cause du mouvement dans lequel s'était achevée l'année 2011 et en raison des conséquences de l'application de la dernière réforme sur la plus-value immeuble annoncée en fin 2011. Il se trouve que ces notaires avaient vu juste, au moins pour ce qui est des échanges immobiliers du 1er mois. C'est un jeu d'enfant de vendre avec un résultat sur la vente maison ou la vente appartement via une agence immobilière de confiance.
Etant donné donc ces facteurs importants et l'effet qu'ils ont évidemment sur leurs échanges immobiliers, certains détenteurs ont suivi ces prévisions en vendant leurs propriétés avant l'application de cette nouvelle réforme pour ainsi profiter de la taxation de l'ancien code, qui se trouve être légèrement plus indulgent. Effectivement, le fondement du dernier régime c'est que le pourcentage d'imposition sera ramené à 32,50% sur 31,30% avant la réforme et pour profiter d'un abattement complet, il faudrait posséder la propriété mise en cession pendant 30 années au moins . Et la résidence familiale étant l'unique préservée par cette dernière réforme, chaque personne désirant vendre un autre bien immobilier qu'elle ne détient que depuis 6 ans notamment, ne pourrait bénéficier que d'un affranchissement de 2% des plus values à la cession de ce bien, sans compter les impositions sociales.
En somme, on pourrait dire que le marché de l'immobilier a vécu une considérable hausse en terme de quantité au courant du premier mois de 2012. Les évaluations actuelles indiquent toutefois que le mouvement est à la baisse pour ce qui est du pourcentage de transactions effectuées ces derniers temps, tendance que l’on peut considérer comme la cause spontanée de la montée des prix constatée. Ceci dit, la zone parisienne reste une exception et garde une activité assez équilibrée, peut-être parce que les acquéreurs de cette agglomération seraient beaucoup moins soumis à la conjoncture actuelle et qu’ils achèteront quelque puisse être le coût.
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