Paris et banlieue : immobilier 2011
Ecrit par: anabelle
Nombre de lectures: 1291
Nombre de mots: 294
Le marché de l'immobilier a connu de grands bouleversements ces dernières années. La crise financière de 2007 a eu des conséquences sur le marché de l'immobilier français dès 2008, puis s'est poursuivie en 2009. Il aura fallu attendre 2010 pour revoir des prix à la hausse. Et ceux-ci ont sensiblement augmenté, même. À Paris, cette augmentation s'est concentrée sur les logements de petite surface, historiquement dites « chambres de bonne », avec une augmentation à deux chiffres : 22 % de hausse rien que sur l'année 2010 !
Pour autant, le marché immobilier en région parisienne s'est plutôt assagi, depuis environ six mois, fin 2010. Cela correspond à la période où les taux des crédits immobiliers ont cessé de baisser pour, au contraire, remonter. La hausse des taux a une incidence négative sur la demande, les budgets des ménages n'étant pas extensibles, le prix d'achat devient moins élevé. Ainsi, la tendance 2011 est déjà stagnante, remarque Le Partenaire Européen, pour l'ensemble de la région parisienne. Sauf à Paris !
À Paris, l'immobilier continue d'augmenter dans des proportions non négligeables. En 2011, la demande se concentre sur les logements aux surfaces moyennes. Les surfaces de 60 à 100 m2 sont très prisées des acheteurs. Toutefois, la hausse des taux et les prix d'achat élevés poussent certains investisseurs à chercher de nouveaux biens en dehors de la ville de Paris. Et Le Partenaire Européen recommande fortement d'analyser un investissement potentiel en détail avant un achat dans un but locatif. En effet, les loyers n'augmentent pas forcément aussi vite que les prix de cession, les loyers étant davantage en rapport avec les revenus réels des parisiens.
En conséquence logique, les prix des logements parisiens vont commencer à stagner avant la fin de l'année 2011, annonce Le Partenaire Européen.
A propos de l'auteur
Le Partenaire Européen accompagne les particuliers dans leurs transactions immobilières 100 % de particulier à particulier.
Vote: Pas encore voté
Identifiez-vous pour voter